Lundi 11 mars //// Regarder le bilan économique 2023
Les personnes présentes sont : Fanny, Benny, Emma, Théo, Yann
Fanny propose qu’on fasse un retour économique sur l’année 2023.
Fanny a préparé deux magnifiques tableaux dans la documentation de la résidence. Ce sont les entrées et les sorties de nos relevés de banque, il n’y a pas le cash de comptabilisé. C’est organisé par catégories et par mois.
Benny propose de changer de diffuseur. Pour fanny on pourrait réavoir des échanges avec elleux.
Être un peu méfiants sur ces chiffres, parce que là Sérendip c’est très peu dans la balance. Il y a un décalage de 6 mois entre la vente des livres de Sérendip et leur facturation.
Théo cherche à actualiser ces chiffres : c’est pas simple d’avoir une idée précise de combien on a touché, mais on est déjà beaucoup. Les chiffres actuels sont pas fiables car Serendip ça a mis du temps à se mettre en place et qu’on peut s’attendre à ce que le camembert soit très différent au moins par rapport à ça.
Les salons marchent très bien : 6000€. Le dépôt c’est pas trop mal aussi : 1000€. Paypal y a 1270€.
Le Paypal c’est un peu différent des ventes directes selon Théo.
Faire un mois avant la sortie d’un livre, et arrêter une semaine avant la sortie en librairie par respect pour les autres acteurices de la chaîne.
Les préventes prennent une part importante du modèle économique de certaines maisons d’édition.
Faut-il systématiser un modèle de préventes à EBA ? En parler à Sérendip ?
Laurent fait une remarque à propos de l’argent générée par les interventions. C’est de l’argent pour lui qui irrigue les livres. Pour lui, on va un petit peu vite en besogne quand on dit que tel livre n’est pas financé.
Entrée 2023 : 36 342,91 euros Sortie 2023 : 33 082,92 euros Chiffre d’affaire : 3259 euros
Fanny souligne qu’on est tout juste à l’équilibre, Théo rajoute qu’EBA lui doit 4000e et qu’environ 10000 ne sont pas comptés par Sérendip qui sont facturés en 2023 mais payés en 2024.
Sortie, notre dépense principale est la production.
Le seul levier possible semble être au niveau de la production.
Sur la production, Emma que questionne sur comment baisser les coûts de fabrication.
Yann parle de son expérience à C&F. Nicolas Taffin, le directeur de C&F, à adapter le format à la plus grande presse numérique de France.
Fanny propose de travailler avec des imprimeurs italiens. Socialement et écologiquement, c’est pas pire.
Laurent parle de Divergence. Pour lui, on peut par mimétisme se caler sur eux.
Fanny souligne que 39°5 a toujours été imprimé en numérique pour baisser. Théo souligne qu’il ne veut pas faire des objets qui ne durent pas dans le temps. PLE a été pensé pour durer dans le temps.
Y a-t-il des dos carrés collés de différentes factures ? Par exemple, est-ce qu’un dos carré collé de Corlet est aussi dégueu qu’un dos carré collé polonais ? Aucun livre d’EBA n’a eu de feuille qui se détache.
Pour Laurent, le fait de partager les livres sur internet, pourrait légitimer le fait qu’on mette un peu plus d’argent sur des frais de prod.